Comment je suis devenu Super-Héros
Paris 2021. Dans une société où les surhommes sont banalisés et parfaitement intégrés, une mystérieuse substance procurant des super-pouvoirs à ceux qui n’en ont pas se répand. Face aux incidents qui se multiplient, les lieutenants Schaltzmann et Moreau sont chargés de l’enquête… mais le passé de ce dernier ressurgit.
Il était essentiel pour le réalisateur Douglas Attal de trouver le bon équilibre dans l’implémentation des effets visuels. Ils faisaient partie intégrale de l’univers du film mais ne devaient pas prendre le dessus sur l’histoire. Au tournage, le procédé technique prenait évidemment du temps mais cela n’a jamais empiété sur le travail avec les comédiens. Durant la postproduction, les équipes de Paris ont mis en œuvre leur savoir-faire technique et narratif.
Lévitations, effets de reflets enflammés ou électrifiés dans les yeux, ajout de blessures et de sang : tout a été mis en œuvre pour permettre au réalisateur de présenter le tout premier film de super-héros Français. Le défi créatif était d’ajouter du spectaculaire, de la technique et du savoir-faire à l’histoire imaginée par le réalisateur.